Compagnie Au Cul du Loup
Théâtre d'objets sonores
En puisant dans la musique, le chant, la danse, le théâtre et les arts plastiques, la compagnie Au Cul Du Loup tisse pour le public des voyages singuliers.
Elle nourrit son vocabulaire atypique en poursuivant sans cesse sa recherche sur l’utilisation de l’objet sonore en scène (le sens qu’il induit, lié à sa conception et à sa forme, sa musicalité liée aux mouvements de l’acteur), et sur l’utilisation de la voix comme fil conducteur d’une situation chorégraphique et dramatique.
La découverte physique des instruments, la curiosité instinctive qu’ils provoquent, leur manipulation, l’image qu’ils imposent et le jeu qui en découle, organisent peu à peu le spectacle, dans une interaction sonore et visuelle.
Le public est enveloppé d’images, de sons, de formes et de mouvement, qui évoquent le sens, au fil d’une histoire sans parole. L’imaginaire, libéré, se nourrit de tout pour s’envoler et s’émouvoir. Nous avons construit des instruments archétypiques à partir de matériaux bruts, naturalistes ou semi-finis, en prenant soins, à chaque fois, de déplacer le principed’accès au son. Leur forme est liée par ailleurs à la double nécessité d’émettre un son et de donner du sens.
Presque tous les instruments font appel au registre du travail manuel, (fouloirs, fléaux, cannes) ou à celui des jeux (cerceaux, golf, toupies), la voix relayant les situations dramatiques et la composition musicale ».
Elle nourrit son vocabulaire atypique en poursuivant sans cesse sa recherche sur l’utilisation de l’objet sonore en scène (le sens qu’il induit, lié à sa conception et à sa forme, sa musicalité liée aux mouvements de l’acteur), et sur l’utilisation de la voix comme fil conducteur d’une situation chorégraphique et dramatique.
La découverte physique des instruments, la curiosité instinctive qu’ils provoquent, leur manipulation, l’image qu’ils imposent et le jeu qui en découle, organisent peu à peu le spectacle, dans une interaction sonore et visuelle.
Le public est enveloppé d’images, de sons, de formes et de mouvement, qui évoquent le sens, au fil d’une histoire sans parole. L’imaginaire, libéré, se nourrit de tout pour s’envoler et s’émouvoir. Nous avons construit des instruments archétypiques à partir de matériaux bruts, naturalistes ou semi-finis, en prenant soins, à chaque fois, de déplacer le principed’accès au son. Leur forme est liée par ailleurs à la double nécessité d’émettre un son et de donner du sens.
Presque tous les instruments font appel au registre du travail manuel, (fouloirs, fléaux, cannes) ou à celui des jeux (cerceaux, golf, toupies), la voix relayant les situations dramatiques et la composition musicale ».